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Article: Fête des Pères chez Ernest - La famille Poirier

Fête des Pères chez Ernest - La famille Poirier
2019

Fête des Pères chez Ernest - La famille Poirier


Rencontre avec Jean Poirier et son fils Hugo

C’est avec plaisir que je vous présente à l’occasion de la fête des Pères la deuxième publication où je rencontre une famille. La semaine dernière, j’ai rencontré Benoît et Annie qui sont responsables de la mise en marché à travers la province. Cette fois-ci, j’ai fait la rencontre de Jean Poirier, directeur au Ernest Fairview Pointe-Claire dans la région de Montréal et son fils Hugo, cofondateur d’une agence de marketing digital désormais partenaire avec les entreprises Ernest. Leur histoire fait également partie des succès d’Ernest depuis plus de 60 ans. Comment mentionné il y a une semaine, plusieurs familles sont présentes parmi les employés. Sans plus tarder, je vous présente Jean et Hugo, portant fièrement des ensembles signés Ernest. Je vous invite à poursuivre votre lecture jusqu’à la fin, puisqu’une courte entrevue avec chacun d’eux suivra.

Complets pour toutes les occasions

Que ce soit pour le travail ou des événements spéciaux, le complet a et aura toujours sa place. Il faut savoir choisir la coupe qui convient à notre silhouette et au besoin faire quelques ajustements avec un tailleur d’expérience. C’est l’un des services que nous offrons en boutique chez Ernest.Veuillez noter que pour cette séance photo, nous avons simplement demandé au tailleur en boutique de créer un faux bord de pantalon adapté à nos mannequins d’un jour. Il se peut que certains ajustements supplémentaires aient été nécessaires.

Je me suis rendue à la boutique Ernest Fairview Pointe-Claire pour sélectionner les ensembles avec Jean pour lui et son fils. J’ai pu profiter de l’expérience de ce directeur chevronné pour créer des looks tendance et adaptés à son style et celui d’Hugo. Après un tour dans la section des complets, c’est un modèle de Jack Victor qui a retenu mon attention : un complet bleu foncé à carreaux fenêtre.

Agencé avec une chemise Anthony of London sans repassage et une cravate à motifs floraux neutres, ce look reflète parfaitement les tendances en matière de complet. L’allure luxueuse du complet, autant par la qualité de sa confection que par sa coupe moderne, convient autant pour le travail que pour un événement chic. Pour finir, une chaussure Stacy Adams de couleur cognac, ornée de perforations, est coordonnée à une ceinture du même colorie.

Afin de célébrer l’été qui se pointe enfin le bout du nez, Jean a opté pour un complet beige cendré semi-ajusté de la marque Orvieto, coordonné à des accessoires flamboyants. Un modèle, qui semble à la base plus classique que d’autres options, peut vous surprendre, seulement en modifiant les autres éléments de votre ensemble. Le beige est un neutre intemporel, mais sa coupe doit suivre l’évolution de votre silhouette et des époques! Une chemise sans repassage Anthony of London bleu clair et une cravate à motifs floraux colorés conviennent parfaitement pour moderniser le tout. La chemise blanche classique aurait pu être une option adéquate. Jean a osé choisir une chaussure bleu marin et sa ceinture de même teinte. Une autre tendance que nous avons remarquée dans la mode pour homme pour la saison. Les accessoires marines ont la vedette autant avec les complets que dans les looks plus décontractés.

De la couleur au quotidien

Peu importe votre style, les couleurs vives et les couleurs pastels ont la cote pour la saison estivale. Le mélange des deux est aussi en vogue. Avec Hugo et son père, nous avons voulu créer des looks palettes de couleurs similaires. Jean porte fièrement un veston sport Anthony of London pastel avec une chemise sport Anthony of London bleu clair à motifs de coraux. Plutôt que d’opter pour le chino marine, Jean a osé un bleu plus clair pour la saison chaude. Pour lui, des chaussures et une ceinture tan auraient pu être une alternative, mais il a aussi osé en choisissant le soulier rouge Stacy Adams. L’un des articles les plus populaires et des plus polyvalents de la collection.

Dans son quotidien, Hugo est souvent amené à porter des complets pour rendre visite à ses clients. C’est pourquoi il était intéressant de lui proposer un look décontracté à adopter pour la fin de semaine. Un polo bleu royal de la marque Au Noir convenait à son style. Les détails de finition et la qualité du matériel de ces polos font qu’il est agréable d’avoir plusieurs modèles dans votre garde-robe pour l’été. Toujours en respectant la tendance des couleurs vives, et surtout celle du rouge, Hugo a osé un chino rouge plutôt qu’un simple jean classique. Il ne passera pas inaperçu! Pour conserver un look décontracté, une simple chaussure de type « sneaker » en cuir blanc et une montre Diesel à bracelet de cuir bleu conviennent absolument.

Entrevue avec Jean Poirier, directeur du Ernest Fairview Pointe-Claire et son fils Hugo Poirier, cofondateur d’une agence de marketing digitale

 

JEAN POIRIER, Directeur Ernest Fairview Pointe-Claire

 

1. Comment les Entreprises Ernest sont devenues un choix de carrière?

En fait, c’est M. Ernest qui m’a appelé un jeudi soir chez moi. J’étais pour une autre boutique qui a fait faillite depuis. Il m’a offert de travailler pour Ernest Place Versailles à temps plein. Je suis ensuite devenu directeur adjoint au Ernest Sainte-Catherine Ouest, avec comme directeur, André Ouellet, aujourd’hui directeur des opérations. Je suis passé à Fairview (Pointe-Claire) pour retourner à Place Versailles qui était le plus gros magasin à l’époque. C’est finalement après le passage de trois différents directeurs à Fairview (Pointe-Claire) en moins d’un an que je suis retourné là-bas et y suis resté finalement pendant 30 ans! Cette année, je compte ma 32e année au service d’Ernest.

J’ai toujours été là-dedans. J’ai commencé à 17 ans. Non, en fait, c’est un choix de carrière indirectement parce que j’ai suivi un cours pour être boucher! J’ai travaillé pour un commerce et le proprio a fermé. Mon frère rendait service à une boutique et il ne pouvait plus y aller. C’est là qu’il m’a offert de le remplacer. Je suis finalement resté 15 ans! (rires) C’est comme ça que j’ai connu M. Ernest. J’allais faire des achats pour le magasin avec le propriétaire et tous les représentants sur la route me connaissaient. M. Ernest a pris mon numéro et m’a contacté le soir à 9 h 30. Il voulait que je le rencontre, mais je l’ai fait attendre deux semaines, parce que j’avais déjà promis de donner un coup de main ailleurs pour remplacer. Au bout des deux semaines, jour pour jour, il m’a retéléphoné, cette fois à 10 h du soir! On dirait qu’il comptait les jours (rires) C’est ainsi que je l’ai rencontré et que j’ai commencé à travailler pour lui. Il faut croire que ma réputation était faite. (rires)

2. Quels ont été les principaux défis à relever avec les années?

La clientèle est un défi pour le centre d’achat Fairview (Pointe-Claire) a changé avec les années. Au départ, il y avait 13 boutiques pour hommes. Nous ne sommes plus que deux. Alors la clientèle a tendance à préférer se rendre à Laval pour le volume et la diversité. Grâce à une clientèle stable et fidèle avec les années, nous continuons de faire nos ventes.

En fait, la nouvelle clientèle n’est pas si difficile à aller chercher parce que la marchandise est là. La qualité et la diversité, ça justifie la présence d’Ernest. Il suffit qu’ils entrent à Fairview (Pointe-Claire). Par exemple aujourd’hui, un jeune entre avec sa mère, ils avaient fait 6-7 magasins pour sa graduation. Je lui ai mis un habit sur le dos et bang! C’était réglé! La dame m’a dit qu’elle aurait dû venir ici avant! (rires) Son fils ne voulait même pas entrer et c’est sa mère qui l’a un peu poussé. Finalement, il a été surpris et satisfait à son premier essayage. C’est comme ça que tu renouvelles ta clientèle!

3. As-tu une ou des anecdotes à nous partager par rapport à tes clients avec les années?

Avec le temps, des amitiés se développent. Les clients deviennent des « chums ». J’ai même un groupe de 6-7 clients qui se tiennent ensemble et Ernest est une deuxième maison pour eux. J’en ai même un qui vient une fois par semaine juste faire son tour, c’est dans sa routine. Il en profite pour se prendre une chemise! (rires) Ernest est un parcours, une destination.

4. Était-ce compliqué d’organiser la vie de famille avec un horaire atypique?

Au début oui, c’était plus compliqué. Maintenant à mon âge et à l’âge que les enfants sont rendus, c’est plus facile. Ça dépend de ta partenaire, ma femme sait que ça fait 40-50 ans que je suis dans le domaine, elle savait à quoi s’attendre (rires). Il y a parfois des conflits, avec les déplacements et certains sacrifices. Comme pour amener les enfants aux sports la fin de semaine, tu es debout à 6 h et tu cours (rires).

J’ai l’impression que la nouvelle génération est moins motivée que les petits vieux comme nous. (rires) Les horaires font que c’est plus compliqué aussi avoir du « staff » (employés). Je crois même que c’est pire à Fairview (Pointe-Claire) à cause du transport en commun inaccessible. C’est mieux d’avoir une auto pour se rendre. Trouver une équipe qui fonctionne bien est un défi.

5. Qu’est-ce qui te rend fier de travailler chez Ernest?

Je prends ça à cœur depuis le nombre d’années que je suis là. J’aime la compagnie. Ma passion a simplement grandi chez Ernest. J’ai encore la flamme du commerce au détail. Je suis là plus tôt le matin, le bureau (le siège social) le sait! J’aime faire ma planification avant, préparer mes transferts de marchandise et être prêt à travailler pour les clients à l’ouverture.

6. Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour les années à venir?

Une bonne retraite! (rires) En fait, je prends une année à la fois. Je vais peut-être poursuivre à temps partiel comme un de nos anciens superviseurs, Pierre Desjardins, qui fait encore quelques jours aux Ernest des Promenades Saint-Bruno. Je dis parfois au bureau (siège social) : je m’en vais! Et j’ai comme réponse : Non non Jean! Encore au moins 5 ans là! (rires) C’est agréable!

 

HUGO POIRIER, fils de Jean et cofondateur de PH Digital

 

1. Comment as-tu vécu ton expérience de grandir avec un père dans le monde de la mode masculine avec les horaires et les défis?

En partant les horaires, oui c’était plus difficile plus jeune. Nous faisions beaucoup de sport, mon frère et moi, comme le hockey. Les déplacements et la présence étaient moins évidents les fins de semaine. C’est plus ma mère qui était présente à ce moment-là. Les fins de semaine sont des périodes importantes pour le commerce de détail. À ce niveau-là c’était un peu plus difficile.

Mais c’est drôle parce que je pense qu’à 5 ans, j’étais déjà bien habillé (rires) j’ai toujours été influencé par mon père. Même qu’en vieillissant, comparativement à mes amis, j’avais plus tendance à porter des « suits » (complets), des chemises propres, etc. Je pense que le fait de voir mon père toujours bien vêtu, ça m’a amené vouloir bien m’habiller naturellement. Comme un modèle.

2. Quelle est ta perception d’Ernest en général?

Je ne peux pas cacher que j’ai un très grand sentiment d’appartenance pour la compagnie. J’ai vu mon père y évoluer. Pour moi, Ernest est un « leader » en termes de mode masculine. Le rapport qualité et prix est excellent. Je trouve des coupes ajustées à un prix raisonnable par rapport à d’autres boutiques pour hommes. Je trouve la bonne coupe et pas juste une fois, année après année.

3. Tout récemment, l’agence PH Digital est devenue un allié des Entreprises Ernest, comment te sens-tu de boucler la boucle en ayant Ernest comme client après avoir vu ton Père y faire carrière?

Il y a 2 ans et demi ou 3 ans, j’ai rencontré Carolyn (directrice marketing et fille de M. Ernest) pour lui parler de mon désir et de ma volonté de travailler avec Ernest. Comme discuté, c’était présent dans ma vie depuis toujours. Même que j’ai une connaissance des produits puisque je m’habille là! (rires) Je magasine ailleurs, mais je reviens toujours chez Ernest. Depuis la mi-mai, nous sommes les nouveaux partenaires d’Ernest pour le marketing digital. Nous sommes contents et fiers de cela, puisque nous voyons, en autres, un excellent potentiel de croissance des ventes par le numérique pour Ernest.

4. Tu travailles dans le domaine du marketing digital depuis combien de temps?

Personnellement, ça fait huit ans que je suis dans l’univers du numérique. Auparavant j’étais dans les finances et dans la gestion d’une grande force de vente en B2B au Québec qui gérait des milliers de comptes d’entreprises dans le marketing digital. Cela fait bientôt maintenant quatre ans avec PH DIGITAL

PH DIGITAL est une entreprise de marketing numérique située à Montréal qui combine plusieurs technologies et expertises afin d’adopter une approche consultative unique. Nous sommes rendu une équipe de 18 experts multidisciplinaires cumulant plus de 15 ans d’expérience. Nous avons d’ailleurs fait l’acquisition d’une autre agence de marketing numérique depuis un peu plus de six mois. En bref, nous développons des écosystèmes numériques qui permettent aux entreprises canadiennes d’augmenter leur clientèle avec le web tout en orientant les différentes stratégies pour un retour sur investissement maximal. 

5. As-tu une anecdote à me partager sur le parcours de ton père chez Ernest?

La première chose qui me vient en tête, c’est lorsque Noël arrive (rires) J’ai toujours au moins un « suit » (complet)! Tu t’en doutes à chaque fois, mais c’est souvent quelque chose qui vient d’Ernest!

6. Peux-tu me nommer trois choses qui te rendent fier de ton père?

Définitivement sa rigueur en premier. Sa ponctualité et sa ténacité aussi. Il vieillit et il faut continuer de relever des défis. Il a encore la flamme après toutes ces années. Il y a des jeunes qui n’ont même pas cette motivation. C’est quelqu’un d’extrêmement travaillant et généreux de sa personne. Je le prends en exemple. S’il fait tout ça à 67 ans, il faut au moins que je fasse la même chose à 30 ans (rires) Ce sont ces qualités et valeurs qui m’ont été transmises.

Les Entreprises Ernest, ce sont de belles histoires et anecdotes. C’est pourquoi il était important de souligner quelques histoires de famille pour la fête des Pères. Je vous invite à découvrir d’autres histoires d’employés à travers le blogue :

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